samedi 28 mai 2011

Fête des mères suite et fin .... mais si tu veux, tu peux lire fête des pères aussi !!!

Voila il m'en manquait un de cadal. Je voulais vous le montrer seulement la semaine prochaine pour laisser la primeur à Môman, mais Môman a dit qu'elle allait ouvrir le paquet tout de suite donc je peux vous le présenter. Je ne vous explique pas à nouveau comment nous avons réalisé ce joli cadre, vous n'avez qu'à aller voir le premier post sur le sujet, là :


Pour celui-là, le tour du cadre a été réalisé avec des mosaïques magnétiques. Ça a fait l'objet d'une activité à part entière  puisque nous avons commencé par réaliser un tri de couleurs dans la boite de mosaïques pour ne conserver que les rouges. Un peu de colle tout autour du cadre et des petites mains pour poser les petits carrés. Et Voila :


jeudi 26 mai 2011

Fête des mères !


Arffff, je n’aime pas trop dévoiler le cadal des Mômans avant la fête mais bon… on va dire qu’on espère que Môman sera overbookée et qu’elle n’ira pas fouiner sur le Net !! Si tu te reconnais Môman, ferme vite cette page et reviens dimanche !

Cette année, on a travaillé l’argile autodurcissante. Au départ, les enfants n’étaient pas super ravis. Ils ne me l’ont pas dit, mais c’est ce que j’ai cru comprendre dans leur « Heu, Nounou, t’en as pu d’la patamoguelé » C’est vrai que l’argile, c’est un peu plus dur à travailler que la pâte à modeler spécial enfant. Mais à force de la triturer dans tous les sens, ils se sont aperçus que ce n’était pas si mal que ça et qu’une fois le coup main attrapé, on pouvait  réaliser des choses plus précises et plus fines. Finalement, ils ont adoré et j’ai dû conclure moi-même l’activité sinon ils étaient prêts à zapper le repas pour jouer encore. Oui je dis jouer parce qu’en plus de la réalisation du cadeau de la fête des mères, je les ai laissés s’amuser librement avec « la terre », l’intérêt de l’activité résidant pour moi dans la manipulation et non dans l’objet fini !

En ce qui concerne nos œuvres d’art, ça a été assez simple, on a fait une boule que l’on a aplatie. Je leur avais fourni du matériel pour travailler la pâte à modeler mais ils avaient un peu de mal. Alors, j’ai carrément sorti le vrai rouleau à pâtisserie pour leur faciliter le travail. Pour réaliser la forme, chacun à choisi le moule qu’il préférait. Après séchage (24 h pour la marque que j’avais achetée), on a peint, puis coller une photo sur l’avant et un aimant sur l’arrière.

La fleur, normalement, elle aurait dû être blanche : c’est la couleur qu’on avait choisie. Seulement le razmoket, il a un peu  patouillé dans la peinture bleue de sa sœur, et finalement, je ne sais pas ce que vous en pensez mais je trouve ça pas mal réussi comme effet ! On aurait voulu le faire qu’on y serait peut être pas arrivé !!



J'aurai un 3ème magnet à vous présenter mais ce sera pour plus tard.......

mardi 24 mai 2011

"Séparations et retrouvailles" Debriefing tardif


Il y a six mois maintenant, j’ai assisté à une réunion Pikler spécifique aux assistantes maternelles qui avait pour thème « séparations et retrouvailles ». J’en avais fait un compte-rendu que je vous invite à lire si ce n’est déjà fait, afin que vous sachiez de quoi je parle.

Je m’étais dit qu’il fallait que je raconte plus précisément ce que j’en avais retiré et ce que cela avait changé dans mon quotidien. Exercice difficile, car il s’agit d’être plus concret et plus personnel tout en respectant le secret professionnel. Pour faire simple la difficulté réside dans le fait de ne pas confondre blog et journal intime. Je resterai donc dans le général ("toute ressemblance avec des personnes ou des situations existantes ou ayant existé ne saurait être que fortuite. " ou pas) tout en apportant quelques précisions sur ce qui m’avait marquée dans cette soirée. 


Pour être précise, je vais me limiter à une partie de la réunion qui traitait des retrouvailles et des séparations quotidiennes. Pour être encore plus précise, je vais surtout parler des départs du soir qui posent très souvent un réel problème.

Si vous êtes assistantes maternelles, inutile de vous décrire le tableau, vous le connaissez par cœur : le loupiot qui a été un ange toute la journée et qui au moment de l’arrivée de papa/maman se transforme en diable capable de vous démonter la maison en moins de deux !!

Pour tout vous dire, ce qui m’a le plus fait réfléchir lors de cette réunion ce n’est pas ce que j’ai entendu sur le sujet mais justement ce que je n’ai pas entendu.

La phrase a besoin d’être éclaircie hein ? Je m’explique. En me rendant à cette réunion, je pensais naïvement qu’on allait parler « passation de pouvoir ». Or, il n’en a pas été question.  De ce que je me rappelais de ma formation et d’après ce que j’avais pu lire sur les forums que j’ai parcourus, le problème était censé venir essentiellement du fait que l’enfant, au moment de l’arrivée des parents, ne savait plus de qui venait l’autorité. Il sait que chez nounou, c’est elle qui établit les règles. Il sait très bien aussi qu’à la maison ce sont ses parents qui « commandent ». Il a très bien compris que les us et coutumes peuvent diverger dans les deux camps et il va donc chercher à tester qui va prendre le dessus entre sa nounou et papa/maman. Bon dit comme cela, c’est un peu caricatural mais c’est en substance ce qu’on peut lire sur le sujet non ? 

Oui on nous dit aussi que le petit enfant n’a pas la même notion du temps que nous et que ça peut donc être difficile pour lui mais très souvent on se borne à cette question d’autorité, comme si l’enfant prenait un malin plaisir à nous déstabiliser exprès. On nous dit aussi que souvent à ce moment là, les parents n’osent rien dire puisqu’ils ne sont pas chez eux et que nous-mêmes, nous restons sur nos gardes de peur d’être jugées par nos employeurs, que le petit s’en rend compte et qu’il profite de la situation. 

J’ai « gobé » cela sans réfléchir pendant longtemps. Après la réunion et parce que le sujet a été abordé par un tout autre axe, j’ai pris conscience qu’il y avait peut être une autre façon de voir les choses. Parce que finalement en y repensant on croirait entendre parler Houellebecq : 

« L’enfant est une sorte de nain vicieux, d’une cruauté innée, chez qui se retrouvent immédiatement les pires traits de l’espèce, et dont les animaux domestiques se détournent avec une sage prudence ». 

Pourquoi l’enfant ferait-il cela exprès. Ne peut-on pas imaginer qu’il agit comme cela parce qu’il ne peut pas faire autrement ? Parce que cela provoque en lui un malaise, un trop plein d’émotions qu’il n’arrive pas à gérer et qu’il manifeste de cette façon. Ne doit-on pas plutôt s’interroger sur ce qu’il ressent plutôt que de chercher qui va gagner dans la grande bagarre Nounou/parents/bébé !! 

Je vais donner un exemple concret : j’ai un gnome qui au moment de partir me demande souvent de mettre le jeu avec lequel il jouait en hauteur, le rendant ainsi inaccessible aux autres enfants. J’étais au départ persuadée qu’il faisait cela par jalousie et par égocentrisme, qu’il ne voulait pas que les autres enfants s’en servent. C’était « son » jeu et il ne voulait pas le prêter !! Souvent je refusais en disant qu’ici, les jeux étaient à tout le monde et que les autres enfants voulaient peut être aussi y jouer. Il ne m’était pas venu à l’idée que c’était peut être une façon pour lui de se rassurer. Était-il certain de revenir le lendemain ? Était-il sûr de l’affection que je lui portais. N’était-ce pas simplement le moyen qu’il avait trouvé pour continuer d’exister à mes yeux après son départ ? Peut-être était-il effectivement jaloux du plaisir que le petit copain prendrait sans lui avec ce jeu. Bref je me suis mise à considérer le message différemment. Par son acte, le petit ne me disait plus « C’est moi le roi » mais juste « c’est difficile de partir ». J’accède donc désormais à sa requête sans avoir l’impression d’avoir perdu la bataille (je dis ça pour les personnes pas encore convaincues qui pourraient dire « ben voila : il a gagné » !!!)

Depuis la réunion, j’ai aussi pris conscience que j’étais peut être un peu expéditive au moment du départ, les enfants ayant besoin de temps pour s’adapter à la situation. Je me suis finalement aperçue que lorsqu’un enfant commence à « partir en live » refusant le départ par exemple, l’autorité était moins efficace que la patience et la compassion. Se mettre au niveau de l’enfant pour lui parler le plus doucement possible ( presque en murmurant) de ce que l’on fera le lendemain, lui laisser le temps de digérer l’information en silence simplement en le regardant avec empathie s’avère beaucoup plus persuasif et rapide  que d’ordonner le départ ! Souvent l’enfant a simplement besoin d’être rassuré. En fait, j’ai abandonné Houellebecq pour me tourner vers Jean Liedloff  qui dans son livre le concept du continuum, écrit :  

« Un enfant naît naturellement bon, sociable, serviable, et s'attend à être traité comme tel ». 

Au final, je ne sais pas qui des deux a raison. La seule chose dont je suis persuadée, c’est qu’en considérant l’enfant comme un potentiel démon, il finit par se conformer à nos pensées et par le devenir. 




mardi 10 mai 2011

Jurassic Park version Jardin Zen ou plutôt Jardin Zen façon Jurassic Park…


Oui parce qu’en fait l’idée est venue dans ce sens là. J’ai d’abord eu envie de les faire « bosser » sur un mini jardin zen. Je voulais diversifier l’activité sable et lui donner un peu plus d’intérêt avec des enfants qui ont maintenant bien grandi et  qui ne se passionnent donc plus pour les simples transvasements !

Cette activité nous a pris plusieurs jours. Ça, c’est un peu ma marotte du moment. Quand j’ai commencé dans le métier, mon truc c’était les journées à thème. Maintenant ce sont les activités programmées sur plusieurs jours. Les enfants sont toujours très enthousiastes et en parlent même à leurs parents, alors qu’habituellement ils sont assez avares de commentaires quand il s’agit d’expliquer ce qu’ils ont fait dans la journée : « ben on a zoué !!! »  Ça leur permet  de mieux se situer dans le temps : « demain on ira faire ceci ou cela » et ça leur donne la possibilité aussi d’apprendre à être patient, à différer leurs envies et surmonter les frustrations.

J’ai d’abord expliqué ce que c’était que le jardin zen en leur demandant s’ils étaient d’accord pour en réaliser un. A ce moment là, il n’était encore pas question de transformer le projet en remake de Jurassic Park. Je leur ai annoncé une prochaine sortie au parc, pour aller ramasser tous les éléments dont nous aurions besoin pour cette création.


Quelques jours plus tard lorsque j’ai vu qu’ils étaient tous bien motivés, nous sommes partis faire notre cueillette : cailloux, bouts de bois, pommes de pins. Je les ai laissés libres de ramasser ce qu’ils voulaient. J’avais pris soin de leur fournir à chacun, un sac de petites dimensions afin qu’on ne rentre pas à la maison avec de quoi transformer nos jardins Zen en maquette grandeur nature de l’Annapurna !! Mais je dois dire que, même comme ça, on est rentré avec de quoi rajouter un bon  mètre au Mont blanc.



Bien entendu, ils ont voulu s’y mettre dès le retour à la maison. Mais la vilaine nounou a dit non et a expliqué qu’on n’attaquerait nos jardins que le lendemain.

C’est quand je me suis demandée par quoi je pouvais bien remplacer les statuettes de divinités, les fontaines ou autres éléments de décoration que l’on trouve habituellement dans les jardins zen  que l’idée des dinosaures est arrivée. Pourquoi les dinosaures : tout simplement parce j’ai un demi-pensionnaire incollable sur la question et qui du haut de ses 3 ans est capable de vous raconter l’histoire de ses grosses bestioles et surtout de leur disparition comme si il y avait assisté ! Si chez vous ce n’est pas le cas, vous pouvez aussi bien remplacer cela par d’autres animaux ou par des Playmobil.

J’ai installé l’activité sur un grand drap pour pouvoir ramasser le sable plus facilement à la fin. J’ai déposé toute notre cueillette de la veille dans une grande bassine et chaque enfant a eu droit à un récipient avec du sable, une fourchette (qui a remplacé le petit râteau habituel des minis jardins zen). Ensuite, j’ai laissé leur imagination agir !!







Vous me direz peut être que ça n’a plus grand-chose à voir avec un jardin zen. Mais pourtant ça porte encore bien son nom !!! L’activité a duré une bonne heure : une heure sans cavalcade dans l’appartement (ma voisine du dessous a du me bénir ce jour-là), sans cri, sans dispute, pas un seul « Nounou Y ma pris mon zouet !! C’est moua qui lavé ovant !! » Une heure de tranquillité pour Nounou ! Ils étaient trois : 23 mois, 3 et 4 ans. Sans vouloir faire de délation, y’a même une grande gigue de 11 ans qui s’y est collée aussi. Ils ont tous joué dans le calme absolu (alors que d’habitude les jeux avec les dinosaures se terminent toujours par une grande bagarre entre les herbivores et les carnivores). Une activité définitivement très Zen. 


vendredi 6 mai 2011

Atelier cuisine : Merci à L'heure du goûter

L’activité que je vous présente aujourd’hui va vous permettre de faire connaissance avec un  nouvel « ami du Oueb » de Nounous, taties et Cie : le Blog « L’heure du goûter ».

Des ateliers Cuisine, ici, on en fait, un peu …. Enfin pour dire toute la vérité jusqu’à maintenant, nos ateliers cuisine se limitaient presque exclusivement à la fabrication des gâteaux d’anniversaires de la tribu. La preuve : quand j’ai annoncé qu’on allait faire de la cuisine et que j’ai demandé ce que l’on faisait en premier dans ce cas, la tribu a répondu comme un seul homme : « LA PÂTE ». Heu….. Certes… mais pas aujourd’hui et puis ce n’est pas tout à fait ça que j’attendais comme réponse hein !!! Moi je voyais plutôt : « On se lave les mains  non ?" Ce à quoi, la schtroumpfette  vexée a répondu : « Ben maman, elle fait pas ça » !! Hou… pas bien maman !!

Lundi dernier, c’était donc Atelier cuisine et comme je ne suis pas très inspirée en la matière je me suis aidée du blog de Jackie, « L’heure du goûter », que j’ai connue grâce à la page facebook du site. Au départ moi, j’ai flashé là-dessus :


La recette ici (photo l'heure du goûter)


Mmmm, mais bon, ça fait pas vraiment naturel tout ça. Et avec un employeur travaillant dans les colorants alimentaires (et qui donc est très méfiant puisqu’il s’y connaît) et un autre qui voit l’alimentation industrielle comme le diable incarné, ça pouvait pas coller. Alors j’ai opté pour ça :

Les verrines aux kiwis


La recette ici (photo l'heure du goûter)


Et aussi pour ça :

Les moelleux à la mangue


La recette ici (photo l'heure du goûter)

On s’est d’abord attaqué aux verrines. J'ai posé les ingrédients sur la table. Je me suis chargée de l’épluchage des kiwis et ils ont fait le reste. C’était sympa. 



J’entends déjà les ayatollahs du tout sécuritaire hurler : « Des couteaux de cuisine, avec des enfants, DANGEREUX !! » Pas plus que ça en fait. D’abord, il ne s’agit pas de proposer l’activité à des enfants trop petits. On teste d’abord la façon dont ils les utilisent avec du matériel de pâte à modeler par exemple et on voit bien s’ils en sont capables. Et puis surtout c’est une activité dirigée, il n’est pas question d’installer les mômes avec leur couteau et de partir regarder le dernier épisode de Dr House en streaming sur l’ordi ou l’enregistrement que vous avez fait du mariage de Kate et William !! On a assez de jugeote aussi pour ne pas proposer l’activité si les enfants sont surexcités, et pour ne pas prendre des couteaux de boucher !

On s’est ensuite attaqué aux moelleux. Je n’ai pas photo à vous proposer car j’étais trop occupée à vérifier que tous les ingrédients du gâteau se retrouvent bien dans la préparation et non pas dans l’estomac d’un des participants qui s’est découvert un amour immodéré pour le yaourt à la mangue !!!

L’atelier s’est très bien déroulé. Les enfants étaient contents. Ils ont dégusté leurs productions pour le goûter. Pour être sincère, s’ils n’avaient pas été les « créateurs » des verrines, je ne suis pas sûre qu’ils les auraient mangées !! Ce ne sont pas des fans de fromage blanc (même que j’avais un peu fait exprès, sadique que je suis, de choisir cela pour leur donner une chance de redécouvrir l’aliment de façon ludique) Ça a marché donc !

On reviendra piquer les idées de « l’heure du goûter » pour notre prochain atelier spécial cuistots !



jeudi 5 mai 2011

Site de la Mutualité Française du Rhône


Très intéressant pour les assistantes maternelles, professionnels de la petite enfance, mais aussi pour tous les jeunes parents, le site de la Mutualité Française du Rhône dans sa rubrique Petite Enfance, fourmille d'informations et d'adresses pour tout ce qui touche à l'accueil du jeune enfant dans le Rhône. En plus d'une présentation de la mutualité, vous y trouverez les différents lieux d'accueil collectif ainsi qu'une newsletter. En voici le premier numéro :


Je ne connais pas la périodicité de cette lettre d'informations, mais il y a à l'intérieur, un appel à contribuer à la rédaction des prochains numéros. Si vous avez des choses à dire sur l'accueil du jeune enfant dans le Rhône, des infos à faire connaître, n'hésitez pas à les contacter.

lundi 2 mai 2011

On a testé ! On n'a pas aimé !

Lorsqu’il nous arrive, mes razmokets et  moi, de découvrir un jouet que nous avons beaucoup apprécié, on aime bien vous le présenter. Enfin bon, j’aime bien vous le présenter. Ce fut le cas pour le U porteur par exemple dont je vous avais causé là, ce sera sûrement bientôt le cas avec un autre jouet vu au relais dans des conditions particulières.

Mais pour que vous ne pensiez pas qu’en fait, tout cela est sponsorisé (nan, je n’ai pas reçu de U porteur en cadeau pour mon article) j’ai décidé de vous causer aussi de mes erreurs. J’entame donc une nouvelle rubrique qui pourrait s’intituler : « Ça, tu peux t’en passer !!! » ou bien encore « Mes fausses bonnes idées!!! » 

Ma fausse bonne idée du week end, ça a été d’acheter ça :



C’est mignon hein ? C'est un oeuf au plat vendu dans sa coquille (la poêle n'est pas vendue avec le jeu).J’ai hésité entre des petits gâteaux et cet œuf. J’ai pris l’œuf parce qu’il était moins cher mais j’aurais du prendre les gâteaux. Je suis désolée que cela tombe sur cette marque parce que généralement j’aime beaucoup les articles qu’elle commercialise. Toute l’épicerie notamment mais pas seulement. Donc pour être précise, je ne vais pas boycotter les produits haba, je continue à leur faire confiance,  mais je ferai plus attention à l’avenir !

Pourquoi je n’ai pas aimé ? D’abord, mais ça, grosse maligne que je suis, j’aurai pu m’en apercevoir avant : l’œuf, légèrement plus petit qu’un œuf grandeur nature, pourrait s’avérer dangereux. Je suis persuadée qu’un enfant peut se coincer une demi-coquille au fond de la gorge et s’étouffer. J’ai tout de suite pensé à mon fils qui lorsqu’il était petit, avait failli s’étrangler avec la capsule d’un œuf kinder. C’est à peu de choses près le même format (j'exagère un peu mais c'est pas loin). Mais ça encore, ce n’est pas mon plus gros grief, surtout qu’il est bien spécifié que le jouet est destiné à des enfants à partir de 3 ans.

Non le plus gros défaut de ce jeu, et bien c’est qu’on ne peut pas jouer avec justement !!! Même pour un adulte, la coquille est très difficile  à ouvrir !!! Il faut forcer, s’y reprendre à plusieurs fois ;  alors pour les petites mains d’un enfant c’est carrément mission impossible ! D’ailleurs, ça les a tellement énervées, les petites mains ici, qu’elles ont fini par détourner le jeu, et par s’en servir comme d’un projectile à balancer contre les murs !!!

Moralité : la coquille va passer à la poubelle dès ce soir (parce que les « Nounou, j’y arrive pô » !! ça va 5 minutes….. et je ne vais garder que l’intérieur en tissu, ce qui nous fera finalement l’œuf au plat le plus cher du marché !!!!

La pédagogie Créatectura : Favoriser la créativité et l'éveil des tout-petits

L'année scolaire se termine et bientôt il sera temps de dire au revoir à tous nos grands qui vont partir pour de nouvelles aventures. Da...